Te parquet français a formellement inculpé Achraf Hakimi pour viol, alors que le footballeur marocain a déjà témoigné devant le juge. Le joueur reste libre, mais sous surveillance policière. Il n'est pas autorisé à avoir des contacts avec la victime présumée et son entourage devra témoigner prochainement, selon les médias français.
La victime, âgée de 24 ans, a raconté son histoire le dimanche 26 février. Elle a exposé les faits avant de déposer sa plainte. Le 16 janvier, elle a commencé à parler au joueur via Instagram et ce n'est que la nuit du 25 février qu'ils ont décidé de se rencontrer. Achraf lui a envoyé un Uber pour venir la chercher et l'emmener chez lui.
Il était seul à la maison, car son partenaire (Hiba Abouk) se trouvait à Dubaï avec le reste de la famille. La déclaration indique que “chez le footballeur, c'est là que les choses ont dégénéré. Achraf l'a embrassée sur la bouche, a soulevé ses vêtements et a embrassé ses seins malgré son refus”. Elle affirme également que l'athlète “a effectué des attouchements vaginaux malgré, encore une fois, sa résistance”.
Dans une situation compliquée
On sait aussi qu'elle lui a donné un coup de pied pour essayer de mettre fin à ce triste épisode. Du côté du joueur, selon son avocat, toutes les accusations sont fausses et il s'entraîne normalement avec le psg. L'entourage du joueur est de son côté. Sa femme, quant à elle, continue de garder le silence et a déjà supprimé certaines photos qu'ils avaient ensemble. Elle semble être dévastée. Le mariage ne traverse pas le meilleur moment.
Galtier, prudent sur sa situation au PSG
S'exprimant lors de la conférence de presse habituelle avant le prochain match de championnat de France du PSG contre Nantes, l'entraîneur Christophe Galtier a refusé de commenter la situation juridique de l'international marocain.
“Je ne répondrai à aucune question sur Achraf HakimiGaltier a déclaré, avant d'ajouter que “le club a déjà communiqué la situation”, une référence au fait que lorsqu'il est apparu plus tôt dans la semaine que le joueur faisait l'objet d'une enquête, il a montré son soutien au défenseur et exprimé sa confiance dans le système judiciaire.
