Dani AlvesLe frère Ney a reconnu que la famille de l’ancien joueur de Barcelone n’était pas satisfaite de la façon dont son avocate, Miraida Puente Wislon, avait traité l’affaire.
L’ancien international brésilien a été arrêté après avoir été accusé d’avoir agressé sexuellement une femme dans une boîte de nuit de Barcelone.
“Nous sommes impuissants dans cette situation”, a déclaré Ney dans l’émission de télévision espagnole “Fiesta”. “Je pense que l’avocat ne va pas bien.”
Le frère d’Alves a également déclaré que la famille était disposée à changer d’avocat.
Leur intention est d’avoir un expert criminel Andrés Marhuenda Martínez rendre visite au footballeur brésilien en prison afin de mettre en place une meilleure stratégie de défense que celle qu’ils ont suivie jusqu’à présent.
Ainsi, la famille envisage de faire un changement dans l’équipe judiciaire afin d’essayer de faire sortir le footballeur de prison.
Julio Alves : Je n’en peux plus
Pendant ce temps, l’autre frère de Dani, Julio Alvesa exprimé son malaise quant à la manière dont l’avocat a traité l’affaire et a souligné que son frère était innocent.
“Je n’en peux plus” Juillet m’a dit.
“Ils ont dépassé les limites. Il est interdit de lui rendre visite. Je ne sais pas quoi faire d’autre. Nous donnerons notre vie s’il le faut pour le sortir de cet enfer”.
De son côté, l’ex-femme d’Alves, Dinora Santanaa tenu à préciser que “Dani ne ferait jamais, jamais, jamais ça”, ajoutant que “je vous dis que je le connais depuis 22 ans, et que je suis marié avec lui depuis 10 ans”.
Alves demande à nouveau de témoigner
La radio espagnole Cadena SER rapporte que le joueur de 39 ans, dont le contrat a été résilié par pumasa demandé à témoigner à nouveau devant le juge après avoir proposé jusqu’à trois versions différentes de ce qui s’est passé dans la boîte de nuit.
Selon TV3, dans sa déclaration devant le juge Alves a reconnu qu’il était dans cette boîte de nuit mais a déclaré n’y être resté que peu de temps et a nié l’agression sexuelle qui lui a été imputée par la victime.
Selon le magistrat, l’histoire contredit les preuves recueillies par la police.