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La victoire de Manchester City sous l’ère Guardiola avec le plus faible pourcentage de possession : seulement 36,4 !

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Te fait que Manchester City a pris d'assaut l'Emirates prendre la tête de la Premier League n' une surprise pour personne. Arsenal s'est révélé être un rival digne de ce nom mais a concédé l'avance dans le dernier quart du match. Ce qui est le plus frappant, c'est qu'ils n'ont pas fini avec plus de possession que leurs adversaires.

Au stade Emirates, Arsenal a non seulement contesté dans le jeu, mais a aussi eu beaucoup plus de ballon. Ville se sont retrouvés avec 36,4 pour cent, leur deuxième plus bas total de l'année. Pep Guardiola ère si on la réduit aux matchs des deux meilleures compétitions : la Premier League et la Ligue des Champions. Pour mettre cela en contexte, ils n'ont eu le ballon moins souvent que leurs adversaires que 14 fois en 319 matchs.

En fait, il s'agit de leur victoire avec le moins de possession de balle en Premier League, depuis 34,66pc qu'ils ont enregistrés face à Barcelone dans la saison 2016/17, qui s'est soldée par une victoire, était en Ligue des Champions.

Gagner la possession ne nous dit pas grand-chose au-delà de la façon dont les équipes sont configurées stylistiquement pour jouer. C'est simplement un moyen d'arriver à ses fins. Mais s'il y a bien un entraîneur qui porte le drapeau de l'utilisation de la possession comme moyen de gagner, c'est Guardiola, un entraîneur qui, il faut aussi le dire, a fait évoluer son style à bien des égards.

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Ils savaient comment gérer le match contre Arsenal. En première mi-temps, les Gunners ont poussé fort et… City a eu des périodes de faible contact avec le ballon. À la fin des 45 premières minutes, leur possession était de 40pc.

En deuxième mi-temps, le contrôle du ballon a eu tendance à s'équilibrer entre les deux équipes, mais Jack GrealishLe deuxième et Erling HaalandLe troisième but d'Erling Haaland a permis à l'équipe de Manchester de doubler la mise alors qu'Arsenal poussait pour essayer de revenir dans le match. Cela a vu la possession de balle chuter un peu plus à 36,4pc à la fin.

Si nous regardons la répartition par segment de 15 minutes, il n'y a qu'un seul tronçon où Ville a dominé le ballon. Après la pause, ils ont accumulé 62pc. Mais les deux matchs suivants Ville Les buts ont conduit à ce qu'Arsenal abandonne presque complètement le contrôle. PepL'équipe de Pep n'a eu que 30 % de possession dans l'avant-dernier segment et 24 % (le plus bas du match) dans le dernier segment.

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En continuation, il est surprenant de voir le peu de temps Ville passé avec le ballon dans le dernier tiers du terrain. A peine 11pc du temps de possession. Comparé à ArsenalL'équipe de 24pc.

Au contraire, ce qui renforce l'argument selon lequel la possession n'est pas forcément synonyme de victoire, c'est l'examen des buts attendus. Dans le match, City a généré des chances légèrement meilleures que Arsenal. Leur xG cumulé de 1,75 l'a emporté sur le 1,62 de leurs adversaires. En d'autres termes, un match nul à un ou deux aurait été équitable, étant donné la qualité des chances, mais les champions en titre en ont bien mieux profité.

Le match a montré que Ville ont aussi su prendre l'avantage sans être l'équipe dominante. Mais il est certainement intriguant qu'ils aient réussi à le faire de cette façon.

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