Le Bureau du Procureur a finalement confirmé officiellement la plainte déposée contre le FC Barcelone pour le nouveau projet de loi sur les droits de l'homme. Barçagate de Negreira. En ce sens, le document établit un lien entre certains des anciens membres de la direction azulgrana, comme c'est le cas de Josep Maria Bartomeu, Óscar Grau et Albert Soler.. Chacun de ces noms avait été mentionné lors de la préparation de la confirmation. La grande surprise, cependant, a été l'inclusion de Sandro Roselldont la présence dans l'enquête est justifiée par la législation.

Sandro Rosell, saluant après avoir quitté le tribunal / EFE
Pourquoi Rosell est-il impliqué dans le “Barçagate” ?
Bien qu'il ait démissionné de la présidence du Barça en janvier 2014, la réalité est que. Rosell est toujours impliqué dans l'affaire car le délai de prescription pour ce type de plainte est de 10 ans, selon le code pénal. En 2013, il occupait encore le poste de dirigeant du club, de sorte que le rayon d'action de l'enquête couvre son mandat. Il convient de rappeler que le bureau du procureur déclare que les actes suivants ont été commis : infraction continue de corruption entre particuliers dans le domaine du sport ; infraction continue d'administration déloyale et infraction continue de falsification de documents commerciaux..
Dans la plainte susmentionnée du Bureau du Procureur, il est précisé que “pendant la période allant de janvier 2011 à janvier 2014, lorsque…”. l'accusé ARF (Alexander Rosell i Feliu) occupait la présidence du FCB, le montant versé par cette entité à N SCP a dépassé les 2 millions d'euros “.selon les données imputées par l'AEAT dans les formulaires 347 et SII”.

Sandro Rosell et Josep Maria Bartomeu sur une image d'archive / EFE
De la même manière, il décrit également ce qui suit : “Par l'intermédiaire des présidents Rosell et Bartomeu, le FCB a conclu et maintenu un accord verbal strictement confidentiel avec le dénoncé Negreira…”.afin que, en sa qualité de vice-président de la CTA et en échange d'argent, il mène des actions visant à favoriser le FCB dans la prise de décision des arbitres lors des matches joués par le club, et donc dans les résultats des compétitions”.
Les conséquences possibles
La législation espagnole est très claire en ce qui concerne les différents délits signalés par le ministère public. La corruption présumée entre particuliers est punie de peines allant de six mois à quatre ans d'emprisonnement, tandis que la déloyauté de l'administration est sanctionnée par des peines allant de six mois à trois ans. C'est ce à quoi s'exposent les différents accusés dans l'une des affaires les plus controversées de l'histoire de l'Union européenne. FC Barcelone.